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JC deus alias SAMUEL
Mes influences :
Le rock and roll, le blues, linda de suza, du pâté et du cinéma.


Mon Matos actuel :
Expandeurs Roland U 220
Expandeurs Yamaha MU10
Synthés Numériques Roland D-20
Synthés Numériques Yamaha DX7
Guitares Basse "Maison", 4 cordes
Studio Intégré Numérique Fostex MR-8
Je suis née à Angers, dans le Maine et Loire (49°, charmante petite bourgade du sud nord ouest de la France Est. En fait, je suis née à l’hôpital, comme beaucoup de gens, mais évitons les banalités...
Tout petit déjà, quand mes parents me donnaient la suçu, ça faisait « quick quick ».
Alors ils disaient : « hummm. Toi, ou tu feras de la musique, ou tu travailleras chez Mac Do ».
J’ai eu une enfance heureuse, faite de tartes à la crème, de pots de confiture et de roudoudou à 2 balles. J’avais une peluche qui s’appelait « Pan Pan » et quand elle faisait des bêtises : pan, pan. Mais revenons à nos moutons, si je puis dire...
C’est à l’âge de dix ans, que mes parents décident de me payer des cours d’orgue électronique au congélateur. Euh... !  Non au conservatoire.
Mon père, ce fan de Charlie Oleg, était persuadé que je progresserais rapidement. En fait non !
En 2 années, je n’ai appris que le « petit âne gris », que je peux jouer par cœur, assis sur une planche à clou, les yeux bandés, plongé dans un bac d’acide.
J’avais une prof qui, quand je me trompais en jouant avec la partition, me tapait sur les doigts avec une règle. Franchement à vous dégoûter d’avoir des doigts !
C’est longtemps, longtemps avant Jean Claude (JC pour les adeptes) qu’a l’âge de 17 ans j’ai eu la révélation. Dieu m’est apparu et il m’a dit en ces termes : « ail ail ail, la vérité Samuel ».
Et oui dieu est juif !!
« Tu vas jouer de la musique, tu vas faire une grande carrière »
Et il a rajouté :
« Et c’est moi qui vas te produire »
Et oui dieu, il fait des fautes d’orthographes quand il parle...
Je n’avais plus besoin d’apprendre les notes sur papier. Ça me sortait du plus profond de l’intérieur de moi-même. Je déchiffrais les morceaux avec mes oreilles et je les jouais avec mes doigts. (Putain c’est con ce que je dis).
Tout devenait clair. Je pouvais toucher les saints.
Oui les « saints thé tiseur ».
J’appuyais sur des notes et ça faisait des sons, c’était génial.

Je reparti avec un petit clavier, la tête pleine de rêves et le porte-monnaie vide.
Le premier morceau que je travaillis était « Jump » de Van Halen. C’était l’époque de la bonne musique, de Police, Téléphone, Queen, Linda de Suza, et moult groupe...

J’aurais dû me méfier. Mais tu vas comprendre lecteur, plus loin, pourquoi de comment c’est possible.
Dieu me guidit alors jusqu’à un magasin de musique et il me fit rentri.
Il me dit « entends-tu, ce que tu vois ? ».
Et la, révélation !!!  J’étais zebloui.

Bref très vite je me rendis compte que si je voulais progresser, il fallait que je travaille encore plus en groupe. Ce qui fufait.
Le groupe, qui n’avait pas de nom d’ailleurs était né.
Trois membres le composaient : Diki, Nez sale et moi-même. (Oui à l’époque je n’avais pas encore de nom d’artiste)
Diki, alias Frédérique Bikialo, était aussi le batteur du group « Citronaze »
C’était aussi le filleul du clavier de France-gall (21 : 0)
Un jour nous eûmes l’occasion de faire un bœuf avec Christian Bikialo (clavier de France-gall : 21 : 0)

En fait c’est lui qui jouait, et nous, on essayait de le suivre...
Très vite je compris que pour faire la Star Ac, c’était impec. Mais pour jouer de la musique, fallait encore travailler !!

Ce que je fis avec le group « STILL », trois ans plus tard.
J’étais passé à l’échelon supérieur !
ze must of ze must, ze top of ze top, ze best of ze best !
Que des semi-professionnels.
Le guitariste de Pierre Groscola (le frère de coca-cola et la sœur d’Alain cola).
Le bassiste de « Bicéphale » (le cheval d’Alexandre le grand)
Un groupe qui n’était pas connu, mais que s’il avait été connu ça aurait été vachement bien...

Avec ce groupe, nous avons enchaîné de gros concert, mais aussi des petits concerts, : à Foie, Colomb, Macouille (dans le Lubéron)... Nous étions tous en métastase et c’est naturellement qu’un 45 tours naquit et l’enregistrement d’un album en studio avec que des morceaux de compositions, avec des paroles écrites avec un stylo et tout et tout...
Les années passèrent et moi aussi je pass...
Bref bien des années plus tard après JC, c’est dans le sud de la France que je m’installi. Je rencontri Arnaud, mais aussi Patrick, Jeannot et Eric.
Nous créâmes le groupe
archanges (rapport a mon producteur).
Ensemble, nous composâmes la merveilleuse ballade, hymne de Balaruc, intitulé « a Balaruc les bains ».
Je me souviens ça sonnait hyper rock.
Ça faisait
 : « A Balaruc les bains on se sent vraiment bien » etc.
Avec une grosse orchestration derrière, un gros son digne des plus grandes musiques de supermarché...

Après moult moult répétitions nous nous produisîmes et nous nous arrêtâmes.
Tout était nouveau pour moi. Je me souviens qu’en studio je me mettais dans un coin et je regardais sagement tout ce qui se disait. De temps en temps on me donnait un os à manger j’étais heureux.

C’est lors de nombreuse répétition que je compris que
quand on joue un morceau Rock, c’est mieux de le jouer tous en même temps, sinon ça fait du jazz...
A l’époque, je me souviens nous jouions tous, qu’avec une main en hommage aux manchots d’Amazonie et pour le guitariste c’était très dur...
Pour moi c’était de la rigolade, car ça faisait déjà longtemps que je jouais, comme Richard Claiderman, c’est-à-dire avec un doigt !

En personne, j’étais devenu moi-même. Ce n’était plus ni après, ni avant, mais pendant moi-même (c’est chier non !).

Vous raconter notre œuvre ensemble serait bien trop long, et tu te fatiguerais lecteur. De toute façon il faudrait une encyclopédie complète...

Puis vint l’ère de « Kasting », un petit group composé de trois musiciens, trois acharné du biniou, trois tourmentés fiévreux du solo, trois martyrisé du PMF (Paysage Musical Français). J’ai nommé Jeannot alias (The Island), Pascal alias (Barilla), zé moi-même alias JC Duss (Deus, en latin).
Et oui. la voilà, la révélation ! (ça vous la coupe hein, bande de naze on n’en parle pas de ça dans le « Da Vinci Code »...)
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