

Le rock and roll, le blues, linda de suza, du pâté et du cinéma.
Mon Matos actuel :
Expandeurs Roland U 220
Expandeurs Yamaha MU10
Synthés Numériques Roland D-20
Synthés Numériques Yamaha DX7
Guitares Basse "Maison", 4 cordes
Studio Intégré Numérique Fostex MR-8
Alors ils disaient : « hummm. Toi, ou tu feras de la musique, ou tu travailleras chez Mac Do ».
Mon père, ce fan de Charlie Oleg, était persuadé que je progresserais rapidement. En fait non !
Et oui dieu est juif !!
« Tu vas jouer de la musique, tu vas faire une grande carrière »
Et il a rajouté : « Et c’est moi qui vas te produire »
Et oui dieu, il fait des fautes d’orthographes quand il parle...
Oui les « saints thé tiseur ».
J’appuyais sur des notes et ça faisait des sons, c’était génial.
Je reparti avec un petit clavier, la tête pleine de rêves et le porte-monnaie vide.
J’aurais dû me méfier. Mais tu
vas comprendre lecteur, plus loin, pourquoi de comment c’est
possible.
Dieu me guidit alors jusqu’à un
magasin de musique et il me fit rentri.
Il me dit « entends-tu, ce que tu
vois ? ».
Et la, révélation !!!
J’étais zebloui.
Le groupe, qui n’avait pas de nom d’ailleurs était né.
Trois membres le composaient : Diki, Nez sale et moi-même. (Oui à l’époque je n’avais pas encore de nom d’artiste)
Diki, alias Frédérique Bikialo, était aussi le batteur du group « Citronaze »
C’était aussi le filleul du clavier de France-gall (21 : 0)
En fait c’est lui qui jouait, et nous, on essayait de le suivre...
Très vite je compris que pour faire la Star Ac, c’était impec. Mais pour jouer de la musique, fallait encore travailler !!
Ce que je fis avec le group
« STILL », trois ans plus tard.
J’étais passé à l’échelon
supérieur !
ze must of ze must, ze top of ze top, ze best of ze
best !
Que des
semi-professionnels.
Le guitariste de Pierre
Groscola (le frère de
coca-cola et la sœur d’Alain cola).
Le bassiste de « Bicéphale »
(le cheval d’Alexandre
le grand)
Un groupe qui n’était pas connu,
mais que s’il avait été connu ça aurait été vachement
bien...
Bref bien des années plus tard après JC, c’est dans le sud de la France que je m’installi. Je rencontri Arnaud, mais aussi Patrick, Jeannot et Eric.
Nous créâmes le groupe archanges (rapport a mon producteur).
Je me souviens ça sonnait hyper rock.
Ça faisait : « A Balaruc les bains on se sent vraiment bien » etc.
Avec une grosse orchestration derrière, un gros son digne des plus grandes musiques de supermarché...
Après moult moult répétitions nous nous produisîmes et nous nous arrêtâmes.
C’est lors de nombreuse répétition que je compris que quand on joue un morceau Rock, c’est mieux de le jouer tous en même temps, sinon ça fait du jazz...
Pour moi c’était de la rigolade, car ça faisait déjà longtemps que je jouais, comme Richard Claiderman, c’est-à-dire avec un doigt !
En personne, j’étais devenu
moi-même. Ce n’était plus ni après, ni avant, mais pendant
moi-même (c’est chier non !).
Vous raconter
notre œuvre ensemble serait bien trop long, et tu te
fatiguerais lecteur. De toute façon il faudrait une encyclopédie
complète...
Et oui. la voilà, la révélation ! (ça vous la coupe hein, bande de naze on n’en parle pas de ça dans le « Da Vinci Code »...)









